crédit photo: Frédéric Chais
Tangente, Danses Buissonnières, septembre 2016
Passerelle 840 (laboratoire), mars 2016
Struwwelpeter est le titre d’un recueil de contes allemands de Heinrich Hofmann dans lequel les enfants sont punis à coup de ciseaux ou meurent d’une mort atroce– brulé vifs ou affamés, lorsqu’ils n’obéissent pas.
Prenant racine dans la figure du Struwwelpeter aux cheveux électrifiés, cette première étape de création est une exploration de l’objet plastique et kinétique qu’est le masque et des mécanismes de la peur.
Chorégraphie et interprétation : Ariane Dessaulles
Masque : Claudia Chan Tak
Costume (version Tangente) : Kim L. Rouchdy